LE SAMEDI... C'EST PERMIS!!
La température ne risque pas de chuter en ce samedi!
Je vous propose l'ultime pirouette pornographique de notre Brigitte adorée,
tournée à l'aube des années 80.
Aux manettes, production et distribution, les artistes déjà responsables
de ses premiers grands rôles: Mulot, Barny et Miscchkind.
Aux manettes, production et distribution, les artistes déjà responsables
de ses premiers grands rôles: Mulot, Barny et Miscchkind.
La boucle est est bouclée!
Tabu Film a eu la bonne idée de distribuer un DVD (à l'instar de Blue One il y a déjà quelques années)
et surtout un Blu-ray de cette œuvre phare.
Pour l'occasion, j'ai trouvé un mHD 1080p de toute beauté…
Malheureusement aucune piste française!
Mais… par chance… une version mHD 720p traînait par là, incluant une VF!
Tout cela m'a permis de vous offrir ce remux qui, j'espère, vous satisfera!
Je vous souhaite une bonne séance ;-)
LES PETITES ÉCOLIÈRES
France / 1980
Réalisation : Claude Mulot (comme Frédéric Lansac)
Scénario : Frédéric Lansac
Photographie : François About
Musique : Thomas Verchet
Montage : Pitof
Assistants réalisateurs : Dominique Aveline et Didier Philippe-Gérard
Directeur de production : Denys Fleutot
Production : Francis Mischkind et Jean-Luc Brunet
Société de production : F.F.C.M.
Société de distribution : Alpha France
Avec : Brigitte Lahaie, Alban Ceray, Dominique Aveline, Cathy Stewart, Céline Gallone, Jane Baker, Élodie Delage, Jack Gatteau, Dominique Saint-Clair, Marilyn Jess, Guy Bérardant, Toni Morena, Hubert Géral, Karine Gambier...
"La tenancière d'une maison close clandestine reçoit parmi ses clients des notables de la ville. Lorsque la police ferme définitivement l'établissement après une énième descente, la matrone trouve une nouvelle orientation professionnelle inattendue. A la pension Les Mimosas, l'experte directrice enseigne désormais à des jeunes filles inexpérimentées l'art délicat des plaisirs sexuels à travers une année scolaire de cours théoriques et de travaux pratiques. Elles sont inscrites par leurs pères ou leurs compagnons afin de leur inculquer les "bonnes manières" qui leur ouvriront les grandes portes de la société..."
Brillant. La caméra multiplie les angles bizarres, assène trop crues sur les intérieurs, métamorphosant le rez-de-chaussée du bordel ou la pension en sorte d'aquarium, où tout conspire à renforcer une étrangeté glacée. Notons aussi les plans de coupe déments du jardin solitaire et mort sans oublier de souples mouvements et de beaux plans d'ensembles en plongée durant les "cours".
La bande-son est travaillée dans le même sens: fragments, exclamations, dialogues convenus subvertis, critiques et référence à l'actualité sociale et économique, silence quasi constant de certains personnages, accompagnement sonore emphatique ou subitement nerveux.
Tous les registres sont utilisés: lesbiennes printanières dans des chambres blanches ou au bord d'une piscine inondée de soleil, séance de punition de Jane Baker où le noir s'oppose au blanc d'une façon expressionniste, éclairages théâtraux pour les saynètes vulgaires et agressives de la fête annuelle, paroxysme du machisme et de l'ironie la plus froide et la plus complaisante.
Il faut voir les élèves en train de déclamer un extrait de La Légende des Siècles avec chacune leur exemplaire de l'édition Garnier-Flammarion pour tromper Géral, le commissaire de police, désabusé et inquiétant Deus ex machina, froid et tendu.
Le comique est sans cesse contredit parla virulence des scènes hard et vice-versa. La longue scène finale contenant plusieurs tableaux casse un peu le rythme du film , très soutenu dans sa première demi heure mais précise le propos: celui du mépris et du désespoir, arrière-plan constant des rires cristallins des pensionnaires et des applaudissements de leurs protecteurs.
Seule Brigitte Lahaie paraît vivante: les autres actrices sont prises dans un cocon lumineux qui évoque celui que tissent les mygales autour de leurs proies. A s'en tenir aux apparences, l'une des meilleures illustrations du thème classique de l'école de l'amour.
En réalité, un film incontournable dans la filmographie de Lansac.A noter enfin que c'est sans doute le dernier rôle de Karine Gambier, dans une apparition brève et non hard, et, en tout cas la dernière contribution de Brigitte Lahaie au genre pornographique.
La bande-son est travaillée dans le même sens: fragments, exclamations, dialogues convenus subvertis, critiques et référence à l'actualité sociale et économique, silence quasi constant de certains personnages, accompagnement sonore emphatique ou subitement nerveux.
Tous les registres sont utilisés: lesbiennes printanières dans des chambres blanches ou au bord d'une piscine inondée de soleil, séance de punition de Jane Baker où le noir s'oppose au blanc d'une façon expressionniste, éclairages théâtraux pour les saynètes vulgaires et agressives de la fête annuelle, paroxysme du machisme et de l'ironie la plus froide et la plus complaisante.
Il faut voir les élèves en train de déclamer un extrait de La Légende des Siècles avec chacune leur exemplaire de l'édition Garnier-Flammarion pour tromper Géral, le commissaire de police, désabusé et inquiétant Deus ex machina, froid et tendu.
Le comique est sans cesse contredit parla virulence des scènes hard et vice-versa. La longue scène finale contenant plusieurs tableaux casse un peu le rythme du film , très soutenu dans sa première demi heure mais précise le propos: celui du mépris et du désespoir, arrière-plan constant des rires cristallins des pensionnaires et des applaudissements de leurs protecteurs.
Seule Brigitte Lahaie paraît vivante: les autres actrices sont prises dans un cocon lumineux qui évoque celui que tissent les mygales autour de leurs proies. A s'en tenir aux apparences, l'une des meilleures illustrations du thème classique de l'école de l'amour.
En réalité, un film incontournable dans la filmographie de Lansac.A noter enfin que c'est sans doute le dernier rôle de Karine Gambier, dans une apparition brève et non hard, et, en tout cas la dernière contribution de Brigitte Lahaie au genre pornographique.
(Francis Moury in Dictionnaire des films français pornographiques & érotiques)
http://www.multiup.org/fr/download/bf159fbff1e5d8f12be0b03c56040263/Internat_D_Amour_aka_Les_petites_e_acolie_ares__1980____1080p_Bluray_remux_VF_byLOCO.part1.rar
http://www.multiup.org/fr/download/dc90fe1fdc0bc0252ca2cff5db81df74/Internat_D_Amour_aka_Les_petites_e_acolie_ares__1980____1080p_Bluray_remux_VF_byLOCO.part2.rar
http://www.multiup.org/fr/download/422444c310e7031de586eadb177fb810/Internat_D_Amour_aka_Les_petites_e_acolie_ares__1980____1080p_Bluray_remux_VF_byLOCO.part3.rar
http://www.multiup.org/fr/download/9306025ef74331f36fd2a582b22d7cf6/Internat_D_Amour_aka_Les_petites_e_acolie_ares__1980____1080p_Bluray_remux_VF_byLOCO.part4.rar
http://www.multiup.org/fr/download/ad6737f055dd7bd9aef087ef39b8a0d4/Internat_D_Amour_aka_Les_petites_e_acolie_ares__1980____1080p_Bluray_remux_VF_byLOCO.part6.rar
http://www.multiup.org/fr/download/a79cca191a923ac91be45139c39d1995/Internat_D_Amour_aka_Les_petites_e_acolie_ares__1980____1080p_Bluray_remux_VF_byLOCO.part5.rar
(Merci à IFPD et 1998223
et un ÉNORME merci à POINT pour le .rar!!)
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